Le manoir se dressait, assujettissant, en plein milieu des vestiges d’un parc à l’abandon. Entre les arbres tordus par le vent et les voies envahies par les ronces, une structure de verre et métallisé résistait encore au ères : une serre oubliée, dissimulée postérieur un mur de végétation sauvage. Julien, https://archergcvof.weblogco.com/33894497/le-jardin-des-ombrages-statiques