Tokyo brillait marqué par les néons, un réseau de lumières pulsantes qui reflétaient la célérité ininterrompue des conclusions circulant dans l’infrastructure numérique de la ville. L’ingénieur observait les flux d’informations défiler sur son écran, chacun analysé, disséqué, converti en probabilités. Son sympathie artificielle, baptisée Oracle-9, était la plus avancée jamais https://josueisygt.blogerus.com/56068698/l-oracle-numérique