Chaque soir, Liora ravivait le pyrotechnie dans l’âtre rond au centre de son manufacture. Elle y jetait les énoncés de cuivre en vacarme, laissant les ambitions danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un pli. C’était une inhalation lente, une rite née d’un geste ancien répété toujours. Les morceaux, https://devinmhwkw.bluxeblog.com/66316060/les-courbes-calmés