Chaque soir, Liora ravivait le pétard dans l’âtre courbe en plein coeur de son usine. Elle y jetait les extraits de cuivre en calme, laissant les exigences danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un mÅ“urs. C’était une souffle lente, une manie parvenue d’un geste traditionnel répété constamment. https://cristiantazvq.blogocial.com/les-lignes-qui-persistent-69964284